Titre : |
Mais il y a la lumière : la grâce est de rencontrer |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Geneviève de Simone-Cornet, Auteur ; Gilles Baudry, Préfacier, etc. |
Editeur : |
Paris : Salvator |
Année de publication : |
2018 |
Importance : |
125 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7067-1658-4 |
Note générale : |
"Méditation sur l'amitié" sur le bandeau publicitaire |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Retraites spirituelles Retraites spirituelles -- Église catholique -- Récits personnels Vie humaine -- Méditations*
|
Index. décimale : |
248.25 Méditations sur la vie humaine (vie, souffrance, amour, mal, bonheur, vertus, défauts,...) |
Résumé : |
Silence et solitude ont même tessiture. À l'abbaye d'Orval, où elle se réfugie - plus qu'elle ne fuit -, Geneviève de Simone-Cornet pressent que l'un guérit et que l'autre apaise. Salutaire tous deux si l'on habite avec soi-même en compagnie du Seul. « Qu'est-ce que la prière sinon l'attente - déjà comblée - et l'accueil de la lumière ? Qu'est-ce que l'amitié sinon, à travers l'épaisseur du quotidien, en dépit des obstacles, l'accueil et le don de la lumière ? » « Jardinière des mots, ouvrière de la parole », Geneviève de Simone-Cornet pratique « l'hospitalité de l'écoute » chère à Maurice Bellet. Grâce soit rendue à l'auteur d'associer dans ces pages naturel et surnaturel dans un dépouillement d'une incomparable richesse.[source éditeur] |
Mais il y a la lumière : la grâce est de rencontrer [texte imprimé] / Geneviève de Simone-Cornet, Auteur ; Gilles Baudry, Préfacier, etc. . - Paris : Salvator, 2018 . - 125 p. ; 20 cm. ISBN : 978-2-7067-1658-4 "Méditation sur l'amitié" sur le bandeau publicitaire Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Retraites spirituelles Retraites spirituelles -- Église catholique -- Récits personnels Vie humaine -- Méditations*
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Index. décimale : |
248.25 Méditations sur la vie humaine (vie, souffrance, amour, mal, bonheur, vertus, défauts,...) |
Résumé : |
Silence et solitude ont même tessiture. À l'abbaye d'Orval, où elle se réfugie - plus qu'elle ne fuit -, Geneviève de Simone-Cornet pressent que l'un guérit et que l'autre apaise. Salutaire tous deux si l'on habite avec soi-même en compagnie du Seul. « Qu'est-ce que la prière sinon l'attente - déjà comblée - et l'accueil de la lumière ? Qu'est-ce que l'amitié sinon, à travers l'épaisseur du quotidien, en dépit des obstacles, l'accueil et le don de la lumière ? » « Jardinière des mots, ouvrière de la parole », Geneviève de Simone-Cornet pratique « l'hospitalité de l'écoute » chère à Maurice Bellet. Grâce soit rendue à l'auteur d'associer dans ces pages naturel et surnaturel dans un dépouillement d'une incomparable richesse.[source éditeur] |
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